• Dans son nouveau format, l’Agence Rossotrudnichestvo travaillera avec l’opinion publique à l’étranger.
  • La priorité de Rossotrudnichestvo est la zone étrangère proche (les pays de la CEI).
  • Nous élargissons le concept de présence humanitaire. C’est l’accès de l’être humain aux droits, à l’éducation, à la culture. Il s’agit maintenant, avant tout, d’assurer l’accès au droit à l’éducation, aux réalisations de la science, de la culture et de la langue russe. Les centres de Russie pour la science et la culture devraient se transformer en bureaux de visite pour les organisations culturelles, éducatives et commerciales, les représentations de tous les acteurs russes dans l’espace humanitaire étranger.
  • L’éducation russe est le domaine d’activité le plus important qui devrait être plus accessible. « Nous faisons nos efforts pour qu’une partie d’étudiants étrangers, selon nos quotas, aient la possibilité d’obtenir des bourses et des subventions d’Etat, et nous devons les ramener dans leur patrie, leur pays d’origine, après l’obtention de leur diplôme : ce sont des ambassadeurs de bonne volonté. On pourra en profiter à long terme. »
  • Nous devons soutenir les initiatives publiques et privées dans le domaine de l’éducation. « Afin qu’il y ait encore plus d’écoles, pas nécessairement en russe, mais avec l’enseignement du russe. » Rossotrudnichestvo doit soutenir l’initiative privée.
  • Aucune agence gouvernementale humanitaire n’admettra jamais que son objectif est le lobbying. Mais nous devons non seulement donner l’éducation aux étudiants et les ramener dans leur patrie, mais rester en contact avec eux. Les associations des anciens sont importantes pour nous. Il est nécessaire de chercher à intensifier le travail avec les associations de diplômés des universités russes (soviétiques). De plus, ils ne doivent pas avoir des conflits entre eux. Nous sommes prêts à travailler avec tout le monde.
  • Rossotrudnichestvo est ouvert aux propositions de changement de nom de l’organisation.
  • Il serait intéressant pour moi d’entendre les opinions d’hommes politiques moldaves, des personnalités publiques, comment ils voient la souveraineté de leur pays, si le nouveau gouvernement soulève la question de rattachement à la Roumanie. Il ne s’agit pas d’un choix alternatif : que ce soit l’Europe ou la Russie, c’est une question du sort de la Moldavie elle-même.
  • Rossotrudnichestvo n’a jamais organisé, n’organise pas et n’organisera aucun parti, aucun mouvement social ou politique. Ces attentes nous étonnent. Notre travail se construit autrement.
  • L’activité de défense des droits de nos compatriotes c’est notre réponse à l’oppression politique.
  • Notre travail vise à minimiser les conflits au sein de la diaspora russe.
  • Interrogé sur les objectifs en Ukraine, le Chef de l’Agence a exprimé son espoir d’une une sortie rapide de cette crise politique, de la fin de la guerre, de la nécessité de trouver quelque chose de commun dans cette situation socio-politique difficile. En outre, Evguéni Primakov a attiré l’attention de ses collègues aux conditions difficiles de travail à la représentation à Kiev et à la pression constante exercée lors de l’organisation des événements et manifestation humanitaires par le Centre.
  • Malheureusement, l’activité de l’Agence Rossotrudnichestvo à Kiev est fortement politisée et cela ne vient pas de notre part. Lorsque nous organisons une sorte de manifestation non politisée, nous craignons que les gens fous viennent avec des pneus et couvrent les bâtiments. Cela ne devrait pas avoir lieu »
  • Notre ordre du jour sur le Donbass est humanitaire.
  • Parlant de la Moldavie dans le cadre des dernières élections présidentielles, le Chef de l’Agence a noté qu’il serait intéressant d’entendre les idées des hommes politiques moldaves sur la souveraineté de son pays dans le contexte de la question d’une éventuelle union avec la Roumanie. En citant E.A.Primakov, il ne s’agit pas de choix entre « l’Europe ou la Russie », il s’agit du sort de la Moldavie elle-même.
  • Nos CRSC doivent devenir des bureaux de visite pour les organisations culturelles, éducatives, commerciales. Il s’agit de la représentation de tous nos acteurs dans l’espace humanitaire.
  • Récemment, il y avait une histoire avec une enseignante de russe en Ukraine, qui a été arrêtée.
  • L’Agence Rossotroudnitchestvo et son amie « La Mission humanitaire russe » ont envoyé un appel à l’OSCE dans les structures de l’ONU, demandant d’expliquer l’inadmissibilité de la répression politique à la partie ukrainienne. Je ne suis pas sûr que cela soit dû à nos appels, mais néanmoins, la pression publique a fait son travail.
  • En donnant des commentaires à la récente situation avec l’annulation de « La Dictée Totale» sur les sites des représentations de l’Agence à l’étranger, Evguéni Primakov a souligné que dans le cadre du travail avec l’opinion publique, il est impossible d’expliquer l’offre des plateformes en Russie à l’écrivain qui compare le référendum en Crimée à l’Anschluss de l’Autriche. Cependant, l’Agence Rossotroudnitchestvo n’a pas l’intention de priver ses compatriotes de la possibilité d’écrire « La Dictée Totale », il est prêt à organiser son événement parallèle (pas alternatif).
  • Nous ne voulons pas priver nos compatriotes de la possibilité d’écrire « La Dictée Totale ». L’Agence Rossotroudnitchestvo est prête à proposer d’organiser un événement parallèle, pas alternatif, car l’idée elle-même est bonne, à savoir parallèle. Peut-être, dicter une œuvre littéraire d’un autre auteur.
  • Nous voyons comment les troubles en Arménie sont utilisés pour gâcher les relations entre la Russie et l’Arménie. Un mensonge flagrant est jeté dans l’espace de l’information, prétendument nos soldats de la paix ont volé quelque chose à quelqu’un. C’est lâche!
  • Il est important que les gens sachent ce que la Russie fait pour leur vie et leur sécurité : nous travaillerons avec les médias, avec les chaînes Télégram, avec d’autres départements et nos centres régionaux en Arménie.
  • Dans le contexte culturel et humanitaire, de la coopération avec la Pologne, on a souligné qu’il fallait mettre l’accent sur l’ouverture des classes de musique, de danse, ateliers, etc.
  • Le Chef de l’Agence a également souligné la nécessité d’un développement informels des liens d’amitié avec les polonais le secteur non gouvernemental. « Ce n’est pas la politique, c’est la culture », a – t – il résumé.
  • Nous examinons le problème de l’éducation russe, comment la rendre plus accessible. Nous croyons qu’une partie d’étudiants dans le cadre du système de quota devraient obtenir des bourses et des subventions. On pourra ainsi en profiter à long terme.
  • Notre mission de maintien de la paix au Moyen-Orient suscite l’intérêt de la Russie. « Les gens ont un grand respect pour notre pays, ils cherchent à apprendre le russe … Cela n’a aucun sens d’envoyer un chœur cosaque dans un pays où il n’y a pas assez de système d’assainissement d’eau mis en place.
  • En outre, l’Agence Rossotroudnitchestvo a besoin d’une coordination avec le Ministère russe des Affaires étrangères afin d’accompagner des campagnes d’information efficaces des projets humanitaires russes au Moyen-Orient.
  • La Russie est un pays non seulement d’un grand passé, mais aussi d’un grand avenir. Nous avons de nombreuses raisons d’être fiers de nos exploits dans des domaines tels que l’informatique, les mathématiques et l’industrie spatiale.
  • L’année prochaine, c’est l’anniversaire du premier vol spatial habité. Nous avons eu des négociations raisonnables avec l’Agence spatiale Roscosmos. J’espère que l’année prochaine, nous pourrons mettre en place des projets interactifs à grande échelle utilisant la RV (réalité virtuelle). Il est très important pour nous d’attirer les jeunes.
  • Nous devons éduquer les étudiants étrangers et les ramener dans leur pays d’origine, car ils sont les ambassadeurs de bonnes relations entre la Russie et l’étranger.
  • Rossotrudnichestvo connaît une concurrence sérieuse avec ses contreparties en Asie centrale. Nos partenaires et amis assermentés sont très actifs dans le secteur social et humanitaire. Nous croyons, apparemment, que seule la beauté sauvera le monde. Auparavant, nous n’étions pas pour le pragmatisme, mais pour la beauté. Cela changera prochainement. En ce qui concerne le Kirghizistan – c’est sûr.
  • Il ne s’agit pas de « soft power », mais de politique humanitaire.
  • Un accent particulier a été mis sur le travail avec les compatriotes vivant à l’étranger. Dans ce domaine, il est nécessaire de se concentrer sur la minimisation des conflits au sein de la diaspora russe. Selon le chef, le travail de protection des droits de nos compatriotes est notre réaction à l’oppression politique, ainsi qu’aux pressions exercées sur eux par les services spéciaux étrangers.
  • Lors de la conférence de presse, Evguéni Primakov a évoqué la pression du FBI sur les compatriotes vivant aux États-Unis.
    Nous n’avons pas de bureau de représentation à Tbilissi. Il est nécessaire de construire des relations normales et adéquates avec la Géorgie. Les gens l’ont raté.
  • Rossotrudnichestvo est une agence fédérale, nous n’avons aucun droit de créer quoi que ce soit : ni les médias ni les ONG. Nous ne pouvons rechercher que des partenaires.
  • Rossotrudnichestvo attend plus d’activité de ses compatriotes.