Le 8 juin, à l’occasion de la Journée internationale de la langue russe et de l’anniversaire du grand poète russe Alexandre Pouchkine, le Centre de Russie pour la science et la culture à Paris a organisé une téléconférence avec Léonide Klein intitulée « La poésie comme le meilleur remède ou Pouchkine dans l’auto-isolement (Boldino). »

Éducateur, chroniqueur et présentateur de la radio « Pluie d’argent », journaliste et conférencier, Léonide Klein est l’auteur de plusieurs livres sur les écrivains et les poètes. Il donne des conférences, organise des projections de films, tient des réunions avec des écrivains russes modernes comme Tatiana Tolstaïa, Evguéni Vodolazkine et d’autres.

La conférence en ligne a été inaugurée par le directeur du CRSC à Paris, Konstantin Volkov, qui a félicité le public à l’occasion de la Journée internationale de la langue russe, célébrée par l’ONU le 6 juin, à l’occasion de l’anniversaire du « Soleil de la poésie russe » (Alexandre Pouchkine).

La téléconférence était le résultat de la collaboration créative du CRSC et de la Représentation commerciale de la Russie en France. L’auteur et l’inspirateur du projet, le Représentant commercial Mikhaïl Makarov a été convié à participer à la réunion en ligne comme invité spécial, en tant que chef de la mission étrangère russe, soutenant activement les projets culturels et éducatifs russes en France.

En tant que professeur à l’Académie russe d’économie nationale et d’administration publique auprès le Président de la Fédération de Russie, Léonide Klein travaille beaucoup avec les jeunes. Au cours de la téléconférence, concluant son discours captivant sur l’œuvre du grand poète russe, l’invité du CRSC a abordé la question de la modernisation du programme scolaire, « parce qu’elle existe afin qu’un individu n’arrête pas de lire même après avoir quitté l’école. »

Léonide Klein a traité les sujets avec beaucoup d’émotion, sans manquer aucun détail littéraire important. Le conférencier a réussi sans aucun doute à inspirer les spectateurs à revoir un certain nombre de films et à relire les livres dont il a parlé.

À son avis, la littérature coexiste étroitement avec d’autres formes d’art – peinture, musique, cinéma. Chefs-d’œuvre – des meilleurs exemples du cinéma mondial, de classiques russes aux œuvres poétiques de Boris Grebenshchikov – c’est ce qui fait partie intégrante de l’éducation de l’homme moderne.