Le 3 octobre, une rencontre-discussion avec le célèbre écrivain Dina Rubina a eu lieu au CRSC à Paris. Elle est venue en France pour présenter l’édition française de son roman « Du côté ensoleillé de la rue ».
Au CRSC, les journalistes Dimitri de Kochko et Sophie Lafaille, qui ont traduit le roman en russe, étaient présents sur scène avec l’écrivain. En guise de prologue de la rencontre était projeté un extrait du documentaire sur l’écrivain Dina Rubina, dont la version française avait été préparée par la maison d’édition Macha Publishing spécialement pour la soirée au CRSC. Marie Renault, fondatrice et directrice de la maison d’édition, l’a dévoilé aux invités. En outre, avant la projection, elle a décrit de manière fascinante l’histoire du choix de la couverture du livre.
Avec son humour intrinsèque, Dina Rubina a commenté cette histoire et répondu aux questions du public sur les phases du processus créatif, la vie, l’enfance et la raison pour laquelle elle a choisi Tachkent, sa ville natale, comme scène du roman. Au début de la rencontre, Konstantin Volkov, directeur du CRSC, a tracé un parallèle avec le titre du livre et a salué tout le monde « du côté ensoleillé » de la rue Boissière, où se trouve le Centre. Ainsi, en un instant, tout a plongé dans l’atmosphère chaleureuse de l’univers du roman.
La traductrice Sophie Lafaille, répondant aux questions, a évoqué les « difficultés de la traduction » en français des réalités soviétiques, des descriptions colorées, de l’accent ouzbek aisément présenté en cyrillique sur les pages du roman.
De nombreux films ont été adaptés des romans de Dina Rubina. Ses livres sont tirés à cent mille exemplaires et sont traduits en allemand, anglais, bulgare, hébreu, polonais et maintenant en français.
Après la présentation et la conversation sous forme de dialogue avec le public, une séance de dédicace a été organisée. Une longue file de lecteurs, amoureux et dévoués à l’auteur charismatique, s’était alignée près de la table de Dina Rubina.